samedi 21 novembre 2015

Section de textes en prose vouée au développement d'un point particulier

Quand l'actualité nous concentre longtemps sur les écrans petits et grands, mobiles ou pas, ça n'est  pas pour rire...
C'est que le quotidien, que je nommerai tranquille pour la plupart d'entre nous hexagonaux, semble soudain fendre l'armure sans délicatesse en rouge et noir.
La peur comme le rire sont des émotions vives qui nous bouleversent longtemps.
Parfois, on les recherche.
Parfois elles débarquent sans ménagement.
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Expérimenter toute ma vie à fond.
La routine s'intègre parfaitement à mes chemins de traverse.
Les règles du jeu apprises, je peux maintenant vagabonder au gré d'une fantaisie chronique.
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Aujourd'hui c'est nuit encore. Et je m'interroge sur les difficultés à venir dans la mise en circulation d'un prochain spectacle au titre délicat qui pourrait bien perturber l'envie de voir cette compagnie qu'on aime, ou la curiosité de découvrir un genre théâtral. Je vais donc faire une tentative, vers vous qui me lisez, en vous parlant d'un fait historique repris dans une pièce faisant partie du Grand Guignol : la révolte des Boxers* et comme dit WIKI :   "Le théâtre Grand Guignol s'accapare le cinquante cinquième jour de la révolte des Boxers pour terrifier le public occidental de l'époque. André De Lorde et Eugène Morel coécrivent une pièce angoissante et sanglante qu'ils nomment "La Dernière Torture" , pour la première fois représentée en 1904. Le texte est édité chez Robert Laffont dans "Le Grand Guignol, Théâtre des Peurs de la Belle Epoque".
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Au fil de ma vie meublée de quelques certitudes et de trop d'hypothèses, j'ai passé la commande pour une suite avec faim.
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Une vie après l'autre : 2023 c'est comment ?

Voilà quelques mois, que mon quotidien a pris d'autres formes, d'autres rythmes. Il se compose de temps pour ma pomme, plus longs qu...