dimanche 22 avril 2012

Ca va ou bien ... mais !

Grosses chaussettes, duffle coat breton et chaussures de trekking pour arpenter le Beaujolais vert, des dégustations heureuses au Bar XVIII sur vins, des complétement ratées aussi venues tout droit de ma cave personnelle et voilà un autre week-end qui s'éteint avec l'écran ouvert, huit onglets,  the Road to hell and back en boucle pour les heures à venir.. faut que je mette de l'ordre dans mes idées, mes écrits, mes choix, mes comptes, mes histoires, mes sous-rubriques, et ne rien oublier car la semaine sera longue...

Récap...

Lundi je persécute celles et ceux qui ne m'auront pas répondu ou donner rendez-vous pour la Tournée de Mumming : le  programme doit se faire d'ici la mi-mai en pleine période du festival clownesque ou burlesque à LYON 


Mercredi avec l'association Arts en Beaujolais, je prépare le vernissage du 25 mai prochain à la Maison de la Saône : j'ai bien écrit deux ou trois lignes il y a quelques semaines déjà mais d'ici mercredi, faudra rentrer dans le détail sur le comment faire venir un public plus nombreux, pour ce rendez-vous estival qui ouvre, enfin grand, cette maison de pompage dont vous apercevez le toit si vous continuez à me lire.

 



Jeudi .. je prépare le départ des vins présentés pendant le week-end à venir à Viriat. Je n'ai toujours pas trouvé de stop-trottoir pour annoncer la deuxième participation de lacavedepaulette à ce rendez-vous annuel.. Je vais donc avec mes deux tonneaux et une belle planche pour poser mes verres et les coudes des consommateurs, entre  les meubles, les sanitaires,  les appareils de clim, les faux plafonds et les serrures,  je vais donc vous disais-je faire déguster pendant  48 heures non stop : Beaujolais blanc, Saint Amour, Chénas et Morgon ..oui c'est la fête des crus du Beaujolais à Viriat aussi ce week-end là.  
 

 Et puis le mois de mai j'irai à Gruyère.

dimanche 8 avril 2012

Parlez moi de lui

... mon atelier est comme l'homme de ma vie, sujet d'explorations. L'aventure se diversifie sans fanfare et sans ronron. Il y a les classiques : les bars itinérants dans des environnements pas toujours attendus. Il y a les évènements auxquels je participe parce que c'est mon métier mais sans carte de visite. Il y a ceux pour lesquels on me demande un peu d'imagination et qui séduisent les non récalcitrants.  Il y a des silences que je  ne romprais pas. Il y a les incertitudes qui se dissipent. J'ai quelques idées empruntées que je composte dans mon serveur géant. D'autres plus personnelles que je réajuste constamment pour qu'elles deviennent évènements. 
Tout ce flou de paroles pour vous donner des nouvelles de l'atelier qui va travailler dorénavant sur la base de 4 rubriques saisonnières et 12 vins (pas XVIII sur vins c'est déjà pris).
 Les vins sont identifiés pour chaque rubrique mentionnée et les rendez-vous devront coller au thème imposé. J'utilise le futur parce que parfois le conditionnel me ferait douter.

Le printemps ne manque pas de souffle. Je cours les partenaires financiers pour boucler la phase 1 de la tournée Mumming play. Pour chaque rendez-vous, je colle à l'identité du lieu pour trouver les animations les plus harmonieuses autour de ce théâtre déjanté, les partenaires commerçants les plus motivés et les solidaires pour garder quelques heures encore le public dans la ville ou les rues du village.
C'est écrit : 3 spectacles bénéfiques pour 3 lieux  mythiques : la tournée doit se préparer comme un scénario avant-gardiste. 

Et puis il y a le projet éclats de vers qui va bientôt devoir s'écrire.. 5 lignes c'est pas assez. 
 Figurez vous qu'avant, j'ai eu 12 ans et j'ai appris l'anglais avec un  prof nommé Gérard B., une sorte de  héros vivant dont j'imaginais la vie tumultueuse, secrète et parfaite.. vivante quoi. J'ai croisé un soir en cave quelques-uns de ses amis et depuis, j'en sais un peu plus sur ce mythe qui n'est plus vivant. Il était aussi écrivain exigeant. J'ai des preuves .. vous mettrait un bout de ses écrits au bout de mes élucubrations du jour.
Gérard B. n'a que le prénom de classique. Tout le reste colle parfaitement à l'image que j'en avais : brillant, intuitif, et libre. Alors les éclats de vers lui seront dédiés.





Que les fervents de la noble inclinaison naturelle se disent bien ceci : le désastre, en amour, c’est la concertation. GB




Une vie après l'autre : 2023 c'est comment ?

Voilà quelques mois, que mon quotidien a pris d'autres formes, d'autres rythmes. Il se compose de temps pour ma pomme, plus longs qu...